Dans les profondeurs du métro de Saint-Pétersbourg, où la mort revêt tant de visages, la puissante Alliance littorale arme une expédition en surface. Des stalkers ont aperçu une lumière qui aurait sa source sur l’île de Kotline, dans la baie de la Neva. Serait-ce le signal de cette Arche de salut qu’espèrent les fidèles de l’Exode, une secte qui prolifère à travers le métropolitain ? Gleb, un jeune adolescent de la station Moskovskaïa, sera du voyage.
Mais quels périls guettent les audacieux ? Et quelles révélations les attendent au bout de leur périple ?
Vers la lumière appartient à la série « L’univers de Métro 2033 » initiée par Dmitry Glukhovsky suite au succès de Métro 2033 et Métro 2034. Son ambition est d’enrichir le monde imaginé par l’auteur en y faisant participer des romanciers de tous les pays. Andreï Dyakov est un de ces jeunes écrivains. Son livre a enthousiasmé aussi bien les lecteurs russes qu’allemands et espagnols.
Dmitry Glukhovsky, l’auteur de Métro 2033, a eu la merveilleuse idée de mettre en ligne un site où il invite les gens à publier des textes se déroulant dans l’univers de ses livres. C’est exactement ce qu’a fait Andreï Dyakov. Glukhovsky et les internautes ont tellement aimé son texte qu’il s’est retrouvé sous forme de bouquin traduit dans de multiples langues! Dans cette histoire postapocalyptique, nous ne sommes plus à Moscou, mais à Saint-Pétersbourg où, comme dans la capitale, les gens se sont réfugiés dans le métro lors de la grande catastrophe. Ce qui m’a particulièrement plu de ce livre, c’est que la majorité de l’action se passe à l’extérieur, dans ce monde désormais sauvage et plein de surprises. Palpitant, terrifiant!